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Etat de la Somalie, en juillet 2011



Etat de la Somalie, en juillet 2011





































Régions adminitratives officielles


Source : http://fr.wikipedia.org

Somalie: les milices Al-Shabab chassées d'une ville importante

09 décembre 2012

Des soldats somaliens montrent le drapeau somalien lors de leur arrivée à Saamoja, près de Kismayo. Des soldats somaliens montrent le drapeau somalien Photo : AFP/STUART PRICE/UA/ONU

L'armée somalienne a repris le contrôle de la ville de Jowhar, qui était entre les mains des milices islamistes Al-Shabab.
 
La nouvelle a été confirmée par l'Union africaine (UA), qui appuie l'armée somalienne dans sa lutte contre ces milices islamistes radicales, ainsi que par un porte-parole des Shabab.

Il s'agissait de l'une des dernières villes importantes toujours occupées par la milice. Elle est située au nord de la capitale, mais se trouve sur un axe routier important.

Selon l'UA, les forces africaines ont rencontré peu de résistance. Le porte-parole des Shabab a toutefois déclaré qu'elle restait près de Jowhar et que son retrait n'était que « stratégique ».

Les milices Al-Shabab n'ont cessé de reculer depuis leur départ de la capitale Mogadiscio, en août 2011. En septembre dernier, le groupe a fui le port de Kismayo, dans le sud du pays. Les milices ont déjà contrôlé d'importants secteurs du sud et du centre du pays.

URL Source: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2012/12/09/004-somalie-shabab-jowhar.shtml

Somalie: dix soldats tués dans une attaque islamiste au Puntland

MOGADISCIO - Dix soldats somaliens ont été tués dans une attaque menée par les insurgés islamistes shebab dans la région autonome du Puntland, dans le nord-est de la Somalie, a indiqué mercredi à l'AFP le ministre de la Défense de cette entité.

Dix soldats ont été tués par les shebab après l'explosion d'une bombe près de leur véhicule, mardi soir sur la route menant à la région montagneuse de Galgala, près du port de Bossasso, a déclaré le ministre, Khalif Issa Mudan.

Nous avons tué sept des shebab (...) et maintenant nos soldats poursuivent les autres (insurgés) qui ont mené cette attaque, a assuré le ministre au téléphone.

Les shebab, ralliés à Al Qaïda, ont assuré pour leur part avoir également attaqué une base militaire, dans cette région du Puntland où ils sont soupçonnés d'avoir fortement renforcé leurs positions récemment.

Nous avons attaqué un camp militaire près de Bossasso, a affirmé à l'AFP un porte-parole des insurgés, Abdiaziz Abu Musab, joint au téléphone.

Les insurgés islamistes affirment avoir ensuite tendu une embuscade à un convoi militaire du Puntland venu en renfort, assurant avoir tué au total 29 soldats et reconnaissant quatre morts chez eux.

Les shebab ont perdu en un peu plus d'un an la totalité de leurs principaux bastions dans le centre et le sud de la Somalie, où ils régnaient jusqu'alors en maître, face à une force de l'Union africaine en Somalie (Amisom, 17.000 hommes) soutenue par un corps expéditionnaire éthiopien et par l'embryonnaire armée nationale somalienne.

Des témoignages concordants indiquent qu'une partie au moins des combattants islamistes ont depuis trouvé refuge dans la région de Galgala, qui inclue les Monts Golis, rappelant, selon les observateurs, la façon dont les talibans afghans en déroute avaient convergé fin 2001 vers Tora Bora.

Les Monts Golis, une région difficile d'accès et criblée de caves naturelles, située à la frontière au tracé contesté entre le Puntland et le Somaliland (qui s'est proclamé indépendant en 1991) , fournissent un sanctuaire idéal aux shebab.

La zone a longtemps été sous le contrôle d'un chef de guerre local et trafiquant d'armes lié aux shebab, Saïd Atom, qui a cependant perdu beaucoup d'hommes au cours d'une offensive menée contre lui par les forces armées du Puntland en 2010-2011.


(©AFP / 05 décembre 2012 16h41)

URL Source: http://www.romandie.com/news/n/_Somalie_dix_soldats_tues_dans_une_attaque_islamiste_au_Puntland35051220121643.asp

La frégate "Louise Marie" assure sa première mission d'escorte en Somalie

07/12/2012


© belga.

La frégate belge "Louise-Marie, qui participe à la lutte contre la piraterie somalienne, a assuré au cours de la semaine écoulée l'escorte d'un navire du Programme alimentaire mondial (PAM) vers le port de Mombasa dans le sud du Kenya, a annoncé vendredi le ministère de la Défense.
Le bâtiment a escorté du 30 novembre au 5 décembre le M/V Tupi Maiden, un navire du PAM, a précisé un porte-parole du ministère au cours d'un point de presse hebdomadaire sur les opérations militaires à l'étranger. Le "Louise-Marie" a ensuite fait escale à Mombasa.

La frégate et ses 169 membres, placés sous le commandement du capitaine de frégate Hans Huygens, participe entre le 23 novembre et le 13 février prochain à l'opération européenne Atalanta de lutte contre la piraterie somalienne au large de la Corne de l'Afrique.

L'opération Atalanta (ou Eunavfor), lancée en décembre 2008 et prolongée jusqu'à la fin 2014, vise à protéger les navires du PAM et de l'Amisom (la Mission de l'Union africaine en Somalie qui contribue à renforcer l'autorité du gouvernement de Mogadiscio) acheminant de l'aide alimentaire destinée aux réfugiés en Somalie, mais aussi de protéger les autres navires "vulnérables" et de dissuader les actes de piraterie en patrouillant dans les zones à risque - une zone de l'océan Indien de deux millions de km2, vaste comme l'Europe.

URL Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1545594/2012/12/07/La-fregate-Louise-Marie-assure-sa-premiere-mission-d-escorte-en-Somalie.dhtml
 

L'ONU demande un milliard d'euros d'aide humanitaire


Des enfants somaliens reçoivent une ration de nourriture dans centre d'aide, le 14 avril 2012 à Mogadiscio AFP/Archives Abdurashid Abdulle Abikar

L'ONU a sollicité mardi un milliard d'euros de la communauté internationale pour aider la Somalie à éviter que les prochaines sécheresses ne tournent à la famine, comme celle qui avait fait des dizaines de milliers de morts en 2011.
L'appel a été lancé depuis Mogadiscio, une première rendue possible par l'amélioration de la sécurité dans la capitale somalienne, que les insurgés islamistes shebab ont été contraints d'abandonner en août 2011.
"Avec 3,8 millions de personnes ayant besoin d'aide, la crise humanitaire en Somalie est une des plus graves au monde. Plus de 1,1 million de personnes sont des déplacés à l'intérieur de leur pays, et plus d'un million de Somaliens sont réfugiés hors de leur pays", selon le bureau de la coordination des Affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA selon l'acronyme anglais).
La population en Somalie, qui tente de sortir de 21 ans de guerre civile, est estimée à environ 8 millions d'habitants.
L'aide demandée -- 1,3 milliard de dollars soit 995 millions d'euros -- doit permettre à l'ONU et aux organisations non gouvernementales travaillant à ses côtés de financer 369 projets humanitaires au profit de 3,8 millions de Somaliens en 2013.
Au delà de cette aide d'urgence, "l'amélioration de la situation alimentaire et la nouvelle situation politique et sécuritaire (en Somalie) offre des chances de casser le cycle de crises récurrentes provoquées par les sécheresses et les conflits", a déclaré le coordinateur humanitaire en exercice des Nations Unies pour la Somalie, Stefano Porretti.
Une force de l'Union africaine en Somalie aidée par un contingent éthiopien et par l'embryon d'armée somalienne est parvenue à chasser les islamistes de leurs principaux bastions du sud et du centre du pays au cours des derniers dix huit mois.
La Somalie dispose également de nouvelles institutions -- Parlement, président et gouvernement -- mises en place depuis septembre dernier, même si la situation ne permet toujours pas d'organsier une élection au suffrage universel dans le pays.
Mais "il y a une nécessité absolue à continuer de soutenir le travail humanitaire en Somalie", a souligné M. Porretti. Les Nations Unies n'ont obtenu pour cette année des donateurs internationaux que 57% de l'aide demandée, soit 668 millions de dollars sur un total de 1,1 milliard selon OCHA.

URL Source : http://www.slateafrique.com/99431/somalie-lonu-demande-un-milliard-deuros-daide-humanitaire

Il y a 20 ans, "Restore Hope" précipitait la Somalie dans le chaos

9 décembre 1992 : plus de 20 000 marines américains débarquent en Somalie sous l'oeil des caméras. Objectif : restaurer la paix afin de porter secours à la population décimée par la famine. Quelques mois plus tard, le Pentagone rappelle ses troupes, devant le spectre d'un autre Vietnam. Avec Pascal Le Pautremat, spécialiste de stratégie, défense et relations internationales, retour sur un fiasco qui a remis en question le droit d'ingérence affirmé par la résolution 688 de l'ONU.

Dans un village à 25 kilomètres de Baidoa, un enfant se précipice vers un convoi humanitaire, couvert par un
légionnaire français (AFP)
 
08.12.2012Par Liliane Charrier
 
L’opération Restore Hope poursuivait un objectif louable : pacifier la Somalie déchirée par les rivalités entre seigneurs de guerre, afin de permettre aux organisations humanitaires d’acheminer la nourriture jusqu'aux populations affamées. Hélas, les intervenants sur le terrain connaissent mal les difficultés du terrain, et ils ne parviendront pas à surmonter l’éclatement du pays en différentes factions.

Il faut dire qu’une mission de cette envergure n'est pas simple à mettre en place. Elle requiert une cohésion internationale, via l’aval du Conseil de Sécurité des Nations unies. Tous les pays partenaires doivent ensuite se mobiliser pour envoyer des armes et des hommes, mais aussi des médecins, et ensuite l’aide humanitaire elle-même. "Et puis en arrivant enfin là-bas, on se trouve en prise avec des organisations claniques, quasiment mafieuses, qui s’emparent des denrées alimentaires destinées aux civils pour les revendre ou les garder pour eux, alourdissant encore le bilan déjà très lourd de victimes de la famine," se souvient Pascal Le Pautremat.

 
A Afgio, à 25 km de Mogadiscio, des soldats américains
protègent l'arrivée d'un convoi de denrées alimentaires.

Pour la première fois, il apparaît que la mise en place d’une opération humanitaire nécessite, en amont, une fine connaissance sociologique, voire anthropologique des populations concernées. "Cela n’exclut pas une intervention militaire, explique Pascal Le Pautremat. Surtout dans les pays comme la Somalie, où les sociétés cultivent l’art et la culture de la guerre de façon quasiment innée. Dans ce contexte, la vie ne pèse rien. Si vous n'intégrez pas cette dichotomie entre leur approche de la vie et la mort, la partie est perdue d'avance, constate Pascal Le Pautremat. Et c’est exactement ce qui s’est passé en Somalie."

"La guerre n'est pas un sot métier"

L’échec de Restore Hope a montré combien il est compliqué de faire intervenir des soldats de plusieurs nationalités dans un conflit excentré, mais surtout qu’il faut, pour gérer la situation, des hommes taillés pour la mission. Les guerres d'Irak et d'Afghanistan l'ont confirmé par la suite. "On a presque toujours échoué là où les hommes ne sont pas imprégnés des réalités socio économiques du pays. Là où l'on a réussi, c'est dans les zones confiées à des unités spécialisées dans les psy ops. Hélas, cette formation est limitée à quelques structures seulement des forces d’intervention," déplore Pascal Le Pautremat. La guerre n’est pas un sot métier, contrairement à ce que disait Jean-François Haumont, soldat de Bonaparte. "Au contraire, il faudrait écarter tous ceux qui n’ont pas la finesse d’esprit pour surmonter le fossé culturel et intervenir au cœur des populations civiles."
 
Zoom:
Un soldat américain fouille un civil afghan dans
la province de Logar (AFP)

Les leçons du Vietnam

Le fiasco de la Somalie évoque évidemment la débâcle de l’armée américaine au Vietnam. Mais au lieu de s'amender, il semble que les Etats-Unis aient entraîné les autres pays de l’Otan dans leur dérive. "Aujourd’hui, même les Français et les Anglais qui, du fait de leur passé colonial, avaient l’habitude d’être au milieu des populations, s’enferment eux aussi dans des bases retranchées, dont ils n’en sortent que pour patrouiller ou rencontrer les dignitaires locaux. Ainsi s’instaure une distance malsaine : les hommes ne parviennent pas toujours à s’imprégner de la situation et ils entretiennent une microsociété artificielle génératrice de nostalgie pour leur pays d’origine," témoigne Pascal Le Pautremat. L’autochtone, alors, n’est plus qu’un étranger, catalogué tantôt 'ami', tantôt 'ennemi'. Une approche d’autant moins adaptée aux conflits actuels qu’ils se déroulent non pas sur des champs de bataille, mais dans des régions entre guerre et paix, comme l’Irak ou l’Afghanistan.

La dictature de l’instantané

De nos sociétés de communication régies par le numérique, il y a la conviction qu’une intervention en zone de conflit doit être menée rapidement, et que la crise peut être surmontée en quelques mois. "Cette culture de l’instantané n’est pas transposable aux crises sociales et économiques, et à plus forte raison aux situations militaires et humanitaires. Les effets de notre action en Afghanistan, par exemple, ne seront pas perceptibles avant dix ou quinze ans. Il faut compter sur un laps de temps d’environ vingt-cinq ans pour recueillir les fruits d’un changement," insiste Pascal Le Pautremat.

Hypermédiatisation : une arme à double tranchant

L’hypermédiatisation de Restore Hope s’est cruellement retournée contre les forces spéciales américaines. Beaucoup se souviennent de l’intervention des forces spéciales d’octobre 1993 en plein Mogadiscio. Une opération décidée unilatéralement, sans prévenir les autres partenaires de l’opération multinationale. Objectif : arrêter l’un des principaux seigneurs de guerre. En réalité, il faudra constituer une colonne de secours multinationale avec des Malaisiens et des Pakistanais pour sortir les Américains de ce marasme. Non seulement ils perdront une vingtaine de soldats, mais leurs dépouilles mutilées seront piétinées et traînées nues dans les rues devant les caméras de CNN. L’opinion publique au Etats-Unis n’a pas supporté la mort des siens. Alors Bill Clinton, cédant à la logique électorale, a mis fin à l’opération Restore Hope.

Les gouvernements veulent un bilan transposable en résultats électoraux

A l’inverse, certaines opérations permettent de remettre en selle et en scène des présidents en perte de vitesse, comme George Bush en 2003. "L’opération Iraki Freedom, lancée le 20 mars, s'est terminée sur une soi-disant victoire le 1er mai. Ainsi Georges Bush a-t-il remonté la pente en agissant en chef de guerre. Mais pour la normalisation du pays, ce fut un désastre," constate Pascal Le Pautremat.

De la même façon, l’intervention de la France en Lybie a complètement déstabilisé le pays en créant une ligne de fracture dont les effets se répercutent jusque dans le nord du Mali. Comme si nul n'avait anticipé la complexité du contexte local. En prise directe avec les populations locales, les membres des ONG, eux, connaissent bien le terrain. "En revanche, les hauts fonctionnaires aux commandes n’ont jamais mis les pieds dans un pays ravagé par une vraie pauvreté, ni dans un uniforme ; ils n’ont aucune idée de ce qu’est une opération militaire, ni de ce qu’elle engendre. Ils veulent des bilans transposables en résultats électoraux. Pour être efficace, il faudrait plus d’humilité," conclut Pascal Le Pautremat.
 

 

il y a 20 ans, le désastre américain



En 1993, des images choquantes de cadavres de soldats américains mutilés, traînés dans les rues de Mogadiscio, font le tour du monde. Un événement qui modifie durablement la politique américaine en Afrique.
Ce jour là, la « Bataille de Mogadiscio » qui avait commencé le 9 décembre 1992 se transforme en désastre pour les Américains. Ce sombre chapitre a suscité un changement fondamental dans la politique étrangère des Etats-Unis vis-à-vis de l'Afrique.
 
Mission à vocation humanitaire
La Somalie début des années 1990 : depuis la chute du dictateur Siad Barre en 1991, le pays est la proie de la guerre civile aggravée encore par le spectre de la famine. Le 3 Décembre 1992, le Conseil de Sécurité des Nations unies décide à l'unanimité l'envoi d'une mission internationale chargée de sécuriser le pays de telle manière à permettre l'acheminement d'une aide humanitaire. Ce sont les Etats-Unis qui prennent alors le commandement de cette « United Task Force ».
 

Rebelles somaliens
 
Il y a vingt ans Rashid Abdi, aujourd'hui spécialiste de la Somalie, était étudiant au Kenya. Il se souvient très bien des évènements en Somalie voisine et qu'au début, l'opération était même bien vue par la population:
« Des corridors humanitaires ont été mis en place, des organisations humanitaires sont arrivées et les gens avaient alors de quoi manger. Mais finalement, l'engagement américain s'est politisé, militarisé. Et quand les soldats américains ont été tués, l'opération a abouti à un désastre. »
 
Une expérience traumatisante
Lors d'une opération américaine en octobre 1993, des miliciens somaliens abattent deux hélicoptères, 18 GI's sont tués. Leurs cadavres mutilés sont traînés démonstrativement dans les rues de la capitale somalienne Mogadiscio. Quelques jours plus tard le Pentagone à Washington ordonne le retrait des troupes américaines en Somalie. Thomas Cargill analyste politique de la « Chatham House » à Londres: « Cela a été une expérience très traumatisante pour les Américains. Cela leur a carrément coupé l'envie de refaire l'expérience de telles opérations à l'étranger et cela pour des années. Ce n'est qu'après le 11 Septembre 2001 que cela a changé de nouveau. Mais jusque là , en Afrique, les USA se sont concentrés sur un engagement humanitaire. »
 

Défense anti aérienne mobile à Mogadiscio
 
Au plus tard en 2007, les choses ont de nouveau changé: les Etats-Unis créent alors l'« Africom », l'état-major américain pour l'Afrique, qui a son siège à Stuttgart dans le sud de l'Allemagne. C'est de cette base que sont coordonnées toutes les activités militaires américaines en Afrique, surtout des missions de formation. Depuis 2011par exemple, des militaires américains soutiennent l'Ouganda à rechercher le criminel de guerre, Joseph Kony en Afrique centrale.
Les Américains sont même de nouveau actifs - quoique indirectement - en Somalie Ils y soutiennent en effet l'actuelle mission de l'Union Africaine – l'AMISOM.
Ces derniers mois, l'AMISOM a remporté quelques succès dans sa lutte contre les islamistes et depuis l'automne, la Somalie a un nouveau président: Hassan Cheikh Mohamoud et -après 20 ans de guerre civile-, le premier gouvernement central viable.

  • Date07.12.2012
  • AuteurFriederike Müller, Philippe Pognan
  • EditionJean- Michel Bos

  • URL Source : http://www.dw.de/somalie-il-y-a-20-ans-le-d%C3%A9sastre-am%C3%A9ricain/a-16437440