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Ethiopian Army attacks Eritrean military post in retaliation for rebel violence

March 16, 2012

Source: Christian Science Monitor

http://tsehainy.com/wp-content/uploads/2011/03/ethiopia.eritrea.jpg

Ethiopia‘s military launched an attack against “terrorist camps” inside Eritrea today in one of the most serious incidents since conflict between the two neighbors ended 12 years ago.
The morning raid was in areas where the “Eritrean government trained, armed, and deployed hit-and-run terrorist and subversive groups,” said government spokesman Shimeles Kemal.
He said the attack, which he described as a “proportional military measure” some 11 miles across Ethiopia’s northeastern border, was in retaliation for Eritrea’s backing of groups that have conducted atrocities inside Ethiopia, including a January attack in the Afar region that killed five Europeans tourists.
No details about the outcome of the strike, or the Eritrean response from its government in Asmara, are available yet.
Mr. Shimeles said that Eritrea’s army is too weak to launch a counter-attack and that Ethiopia would take similar action if it continued to back subversive groups. Despite today’s bellicose move, said Shimeles, talking is the way forward.
“While Ethiopia reserves its right to take retaliatory measures against Eritrea’s violent attacks, the government still upholds that the conflict between the two countries can only be resolved through negotiations and dialogue,” he said.
It’s “not in Ethiopia’s interests” to return to hostilities, Ethiopia’s State Minister of Foreign Affairs Berhane Gebre-Kristos said last month.

Increasingly aggressive Ethiopia

The attack sends a different message and is the culmination of an increasingly aggressive stance from Ethiopia toward its neighbor. Last year Ethiopia said it would back rebels seeking to overthrow the government in Asmara. Recently it has also been applying diplomatic pressure on Eritrea, with which Ethiopia fought a two-year war from 1998-2000 that killed some 70,000 people.
Eritrea, which has been led by President Isayas Afewerki following independence from Ethiopia in 1993, has been under United Nations sanctions since 2009, primarily for supporting Somali militants, including the Al Qaeda-linked Al Shabab. Ethiopia also accuses Eritrea of backing groups such as the Oromo Liberation Front, or OLF, which is fighting for autonomy for the largest and most-populous region of Ethiopia.
Analysts say the hostile relations are partly due to rivalry between the two heads of state, President Isayas, and Ethiopian Prime Minister Meles Zenawi. The two led separate rebel movements that overthrew the Marxist military junta that ruled Ethiopia until 1991.
The government in Asmara says Ethiopia is the aggressor and that it has duped the international community into treating Eritrea as an international pariah. A United Nations group monitoring the sanctions said Eritrea was behind a foiled OLF plot to bomb Addis Ababa during January 2010′s African Union summit.
After leading an independence struggle that lasted more than three decades, Isayas is regarded as having become increasingly autocratic. There is no independent press and the government has never held a general election. Human Rights Watch described it as a “giant prison.”
Last year, Ethiopia tried to have stringent economic sanctions placed upon Eritrea that would have crippled its booming mining industry and cut revenue from an important tax on remittances. Officials from Addis Ababa have repeatedly warned the international community that they will deal unilaterally with the Eritrean threat if it does not act.

Escalation likely

The “magnitude and nature” of this attack makes escalation likely, Ethiopia analyst Jawar Mohammed says. Eritrea has been conducting military drills, possibly in anticipation of an attack since Ethiopia accused it of murdering the tourists, he says.
“It is quite likely that Eritrea will respond in kind. And this tug-of-war could escalate into a full blown confrontation,” he believes.
Eritrea will now focus on a diplomatic offensive to again try to convince the world that it is the victim of Ethiopian aggression, while launching one of its proxies to attack its enemy, says an adviser to the Ethiopian government.

By William Davison

http://www.csmonitor.com/World/Africa/2012/0315/Ethiopian-Army-attacks-Eritrean-military-post-in-retaliation-for-rebel-violence

Somalie: Al-Chebaab revendique l'attaque mortelle à Mogadiscio

19 mars 2012

Le groupe islamiste radical Al-Chebaab a déclaré lundi avoir lancé une attaque mortelle au mortier dans la capitale somalienne Mogadiscio.
 
Au moins cinq personnes ont été tuées et six autres blessées après que des mortiers tirés par des combattants rebelles dans la nuit ont manqué le palais présidentiel dans la capitale somalienne Mogadiscio et ont frappé un camp de personnes déplacées.
 
Dans un post sur Twitter, le groupe a déclaré avoir lancé une attaque aux mortiers à minuit sur le palais présidentiel. "Les attaques aux mortiers de minuit ont visé le palais présidentiel à Mogadiscio occupé par des mercenaires africains et leurs alliés apostats".
 
Le groupe radical a revendiqué avoir tué cinq soldats de maintien de la paix de l'Union africaine (UA) du contingent ougandais et 11 soldats du gouvernement somalien. Mais ces affirmations ont été niées avec véhémence par le gouvernement ainsi que par les officiels de l'UA à Mogadiscio.
 
C'est la première fois en quasiment huit mois que des mortiers sont utilisés à Mogadiscio depuis le retrait des forces rebelles de la capitale somalienne en août 2011.
 
"Un certain nombre de mortiers ont été tirés par le groupe terroriste Al-Chebaab en direction du palais présidentiel mais aucun n'a réussi à atteindre sa cible", a déclaré Paddy Ankunda, porte-parole des troupes de maintien de la paix de l'Union africaine, à Xinhua lundi.
 
Les mortiers ont frappé un camp de personnes déplacées, tuant cinq personnes et en blessant six autres, dont des enfants, ont déclaré des responsables sanitaires et des résidents sur le camp.
 
"Trois personnes sont mortes sur le camp, mais deux autres sont également décédées sur le chemin de l'hôpital. Six autres ont été blessées et sont actuellement soignées à l'hôpital", a déclaré Ali Jinow, résident au camp.
 
Les responsables sanitaires et les médias locaux ont également confirmé le nombre de victimes des attaques contre le palais présidentiel.
 
Source : http://french.cri.cn/781/2012/03/19/461s274231.htm
 

Des tirs font six morts dans un camp de déplacés en Somalie

19 mars 2012

Le campement, situé près du palais présidentiel à Mogadiscio, a été frappé en pleine nuit par des obus de mortier. Les islamistes shebab ont revendiqué les tirs.

Au moins six civils ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi par des tirs de mortier contre un camp de déplacés installé près du palais présidentiel, dans la capitale somalienne Mogadiscio, ont rapporté lundi des témoins.
Les insurgés islamistes shebab ont revendiqué cette attaque, mais ils ont assuré que les projectiles avaient atteint la présidence somalienne et ils n'ont pas fait état de victimes civiles dans le camp de déplacés voisin, dans des messages postés sur leur compte twitter.
«Un père, une mère et deux de leurs enfants ont été tués par un tir de mortier contre leur abri, et un autre tir a tué deux autres civils. Nous ne savons même pas d'où ces tirs provenaient», a rapporté un des témoins interrogés par l'AFP, Abdiwahid Mohamed.
«Nous sommes en train d'enterrer les membres de la famille tués dans un cimetière non loin du camp», a ajouté ce témoin interrogé dans la matinée.

Versions contradictoires

Un responsable des services de sécurité gouvernementaux, le colonel Bare Mohamed, a confirmé le décès de «plusieurs civils» du camp de déplacés. «D'après ce que nous savons, il était minuit et les gens dormaient quand les projectiles ont commencé à tomber», a précisé cet officier.
«Au moins six projectiles sont tombés autour du camp et trois à l'intérieur», a rapporté un autre témoin, Muktar Ali. «Outre les morts, sept autres personnes ont été blessées», a-t-il ajouté.
Les islamistes shebab ont de leur côté affirmé qu'«une attaque aux tirs de mortier avait touché à minuit le palais présidentiel», et qu'«au moins cinq (soldats) ougandais et onze membres des milices (somaliennes progouvernementales) avaient été tués».
Ce bilan a été catégoriquement démenti par le porte-parole de la force de l'Union africaine (Amisom) à Mogadiscio, Paddy Ankunda, qui a affirmé à l'AFP que les seules victimes étaient civiles et que les mortiers étaient tombés à 300 mètres du palais présidentiel.
Quelque 185 000 déplacés, selon l'ONU, vivent encore dans des camps de fortune dans Mogadiscio, après avoir fui l'an dernier une sécheresse et une famine qui ont tué plusieurs dizaines de milliers de personnes dans le sud et le centre de la Somalie.
Cette catastrophe humanitaire est survenue sur fond de combats persistants entre les insurgés islamistes shebab, qui contrôlent une bonne partie du sud du pays, et les soldats d'un fragile gouvernement de transition somalien soutenu par la communauté internationale, en particulier par la force de l'Union africaine de 9 700 soldats, quasi-exclusivement ougandais et burundais, cantonnés à Mogadiscio.

(AFP)

http://www.liberation.fr/monde/01012396897-des-tirs-font-six-morts-dans-un-camp-de-deplaces-en-somalie

Nouvelle attaque des islamistes contre la présidence somalienne

20 mars 2012

MOGADISCIO (Reuters) - Des combattants islamistes ont tiré mardi au mortier en direction du palais présidentiel somalien à Mogadiscio pour la deuxième nuit consécutive, sans faire de victimes, rapporte la force de maintien de la paix de l'Union africaine (Amisom).


"Les rebelles ont visé le palais mais les obus sont tombés juste à l'extérieur. Il n'y a pas de victime", a déclaré Paddy Ankunda, porte-parole de la force africaine.

Les troupes de l'Amisom ont répliqué aux tirs contre la Villa Somalia, qui abrite également des ministères.

Les insurgés islamistes d'Al Chabaab, affiliés à Al Qaïda, ont revendiqué l'attaque de la veille, qui a fait cinq morts dans un camp de réfugiés situé à proximité de la présidence, en promettant de cibler le palais sans relâche.

Le complexe présidentiel est normalement considéré comme hors de portée des mortiers installés à l'extérieur de la capitale par les islamistes, qui ont perdu le contrôle de la ville l'an dernier.

Jean-Stéphane Brosse pour le service français

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120320.REU2236/nouvelle-attaque-des-islamistes-contre-la-presidence-somalienne.html

Somalie: Attaque manquée contre la présidence, des réfugiés tués

19.03.12

Six personnes au moins ont été tuées dans la nuit de dimanche à ce lundi à Mogadiscio par des obus de mortier qui ont atterri dans un camp de réfugiés proche du palais présidentiel, a annoncé ce lundi la force de maintien de la paix de l'Union africaine (Amisom). L'attaque visait la Villa Somalia, siège fortifié de la présidence, mais les assaillants ont raté leur cible et les obus ont frappé un camp de personnes déplacées distant de 500 mètres environ, a précisé un porte-parole de l'Amisom.

Selon un habitant de la capitale somalienne, cinq membres d'une même famille ont notamment péri dans cette attaque manquée. L'attaque a été revendiquée par les miliciens islamistes d'Al Shebab, liés à Al-Qaida, qui s'étaient déjà attribué la semaine passée un attentat suicide meurtrier commis dans l'enceinte du complexe présidentiel. «Voyez à quel point nous sommes sérieux», a dit cheikh Abdiasis Abu Musab, porte-parole de la milice pour ses opérations militaires. «Nous allons continuer d'attaquer le palais par des attentats suicides et des bombardements», a-t-il ajouté.
Source : Reuters
 
 

L'Ouganda va diriger la force de paix de l'UA en Somalie

19 mars 2012

La nouvelle force de paix de l''Union africaine en Somalie sera placée sous commandement de l'Ouganda, a déclaré samedi à Nairobi un responsable militaire kényan.

Le porte-parole de l'armée kényane, le colonel Cyrus Oguna a indiqué lors d'une conférence de presse à Nairobi que les pays contributeurs de troupes à la mission de l'UA en Somalie (AMISOM) ont convenu de placer la force africaine sous le commandement de l'Ouganda."Suite à des discussions sur le commandement de l'AMISOM dont les effectifs ont été renforcés avec la participation de troupes kényanes, il a été décidé que la mission africaine soit dirigée par un Ougandais, qui sera soutenu par un Kényan et un Burundais", a dit le colonel Oguna.

Les troupes kényanes, qui sont entrées sur le territoire somalien en octobre dernier pour combattre les islamistes shebab, suite à une série d'enlèvement d'étrangers à la frontière entre les deux pays, ont rejoint dernièrement l'AMISOM. Celle-ci, établie en 2007, était composée autrefois notamment de troupes ougandaises et burundaises.

Des shebab recrutent des enfants kényans, selon la police

Les milices islamistes somaliennes shebab recrutent des enfants kényans pour combattre l'armée kényane qui est entrée dans le sud de la Somalie pour poursuivre le groupe terroriste, a déclaré samedi la police kényane.

Le porte-parole adjoint de la police kényane, Charles Owino, a dit qu'un certain nombre de parents ont signalé à la police que leurs enfants préparaient des attentats sur le territoire kényan. Il a appelé à renforcer la coopération entre les citoyens et la police pour prévenir des attaques terroristes au Kenya.

"L'entrée de l'armée kényane sur le sol somalien a affaibli la force des shebab et a amené plusieurs étrangers à quitter le groupe terroriste", a affirmé le responsable de la police. "Des militants étrangers shebab sont retournés dans leurs pays d'origine, cela menace la sécurité du Kenya", a-t-il affirmé.

Les shebab ont mené plusieurs attaques sur le territoire kényan depuis l'entrée des troupes kényanes dans le sud de la Somalie en octobre dernier, en réponse à une série d'enlèvement d'étrangers à la frontière entre les deux pays.

Source : Agence de presse Chine Nouvelle.

 

Première représentation en 20 ans au théâtre national de Mogadiscio

Le théâtre national somalien, à l'abandon en raison du chaos et de la guerre dans laquelle a sombré la Somalie, privée d'Etat central depuis 1991, a donné lundi à Mogadiscio sa première représentation en plus de 20 ans, a constaté un journaliste de l'AFP.


Des centaines de spectateurs, pour la plupart membres des autorités somaliennes de transition avaient pris place dans le théâtre, vaste bâtiment construit par la Chine, désormais en ruine et privé de toit par les combats et les bombardements qui ont visé Mogadiscio au cours des deux dernières décennies.

Source : http://lci.tf1.fr/filnews/monde/premiere-representation-en-20-ans-au-theatre-national-de-mogadiscio-7077573.html

Somali refugees killed by Mogadishu mortars


19 March 2012
About six people have been killed in Somalia after mortars landed on a refugee camp near the presidential palace in Mogadishu, officials say.



A Somalian carries the dead body of a child killed with four family members by a mortar shell that struck their home in Wardhigley district, Mogadishu on March 19, 2012.
Two children were reportedly killed along with their
parents

A family of four were reportedly among those killed when a mortar landed on their shack - a girl of seven is said to be the only survivor.

Islamist group al-Shabab said it had fired more than a dozen mortars.
The al-Qaeda-linked group controls many southern areas but is under attack on a number of fronts.
Ethiopia has sent troops from the west and Kenya from the south, while al-Shabab was forced out of Mogadishu last year.
"A father, mother and two of their children have all died after a mortar shell smashed into their hut, and another round killed two other civilians," witness Abdiwahid Mohamed told AFP.
Paddy Ankunda, a spokesman for the African Union force supporting the UN-backed government, told Reuters news agency that about six civilians had been killed but no mortars had landed in the presidential palace.
Although al-Shabab no longer controls any Mogadishu districts, it stages frequent attacks on the city.
Last week, five people were killed when a bomber blew himself up near the presidential palace.
The government only controls the capital but last week started its first advance beyond the city limits.
The country has been racked by fighting since its last effective national government was toppled 21 years ago.


Jets bomb al Shabaab base in southern Somalia

March 19, 2012
Source: Reuters

http://newscdn.fooyoh.com/Reuters_Top_News/2012-03-17/2012-03-17T144759Z_1_CDEE82G154100_RTROPTP_2_SYRIA.JPG

Jets bombed a base run by Islamist al Shabaab rebels north of Somalia’s Kismayu port on Saturday, local residents and officials said, but it was not clear who carried out the raid or whether there were casualties.

Kenya sent troops into anarchic Somalia in October after cross-border raids and kidnappings that it blamed on al Shabaab, which has allied itself with al Qaeda, but regional security has not improved. Somali militants killed nine people in an attack in Kenya’s capital Nairobi last week.

A regional Somali military official said the jets were Kenyan. A Kenyan military spokesman in Nairobi could not confirm this, and neither could U.N. peacekeepers in Somalia.