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SOMALIE: LES NOUVEAUX PIRATES

Djibouti, vers le lac Assal. Repaire traditionnel des pirates et autres trafiquants des mers, le golfe de Tadjoura fut, au siècle dernier, le théâtre des exploits de l’écrivain aventurier Henry de Monfreid (1879-1974).




Une aiguille dans une botte de foin... Préparation d'une mission de surveillance maritime à la base aéronavale française de Djibouti. Dans le cadre de la coalition internationale contre le terrorisme, les militaires français traquent les pirates sur les quelques 3000 km de côtes somaliennes.



Dans le cadre de la coalition internationale contre le terrorisme, les militaires français traquent les pirates sur les 3000 km de côtes somaliennes. Tous les quatre jours, un avion de patrouille maritime "Atlantique II" décolle de Djibouti et survole la zone.




Passerelle de commandement de la frégate furtive porte-hélicoptères "Surcouf" de la Marine Nationale française, qui participe à la surveillance des eaux du golfe d'Aden dans le cadre de la Task Force 150 de l'opération Enduring Freedom.



Frégate furtive porte-hélicoptères "Surcouf" de la Marine Nationale française. Ce bâtiment croise en Mer d'Arabie et dans l'entrée du Golfe Persique afin d'en contrôler l'espace aéro-maritime, dans le cadre de la Task Force 150 de l'opération Enduring Freedom.





Les pirates trouvent des complices dans les ports d'Afrique de l'Est pour leur donner des détails sur les transits des navires dans les eaux somaliennes. Des informations que les prostituées des nigth-clubs de Mombasa savent obtenir des marins de passage. Désormais la plupart des affréteurs interdisent à leurs équipages de faire escale au Kenya.



Toutes les photos © Jean-Luc Moreau

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