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Burundian troops serving with the African Union Mission


Burundian troops serving with the African Union Mission in Somalia (AMISOM) together with forces of the Somali National Army (SNA) have been mounting 'snap' foot patrols in villages and areas to the east of Baidoa where Al Qaeda-affiliated extremist group Al Shabaab mount attacks against local herdsmen, villages and travellers along the busy Baidoa-Mogadishu road. Patrolling in and around the village of Modmoday, approx. 40km east of the Biadoa, the capital of Somalia's Bay and Bakool Region, the AMISOM troops also use the patrols as an opportunity to provide occasional free medical treatment and fresh, potable drinking water for residents in the area. Images taken 15 October, 2013. All Photos: AU/UN IST PHOTO / ABDI DAKAN.











Restore Hope : il y a vingt ans, les Belges tentaient de pacifier la Somalie

lundi 10 décembre 2012 à 16h58
L'armée belge célèbre mercredi, mais en toute discrétion, le 20ème anniversaire de son arrivée en Somalie, où elle a tenté durant un an de rétablir un semblant d'ordre, dans un pays en pleine guerre civile, au prix de six morts.
Soldat belge en mission dans les rues de Kismayo en mars 1993. © Image Glob
Aucune commémoration particulière n'a été organisée pour marquer l'arrivée, le 12 décembre 1992, des premières troupes belges à Mogadiscio, la capitale somalienne, dans le cadre de l'opération "Restore Hope" ("Rendre l'Espoir") dirigée par les Etats-Unis afin de mettre fin au pillage de l'aide humanitaire dans ce pays de la Corne de l'Afrique en proie à l'anarchie. 

Les premiers Belges étaient arrivés à Mogasdiscio peu avant la mi-décembre. Ils avaient rapidement été dirigés vers la ville portuaire de Kismayo, dans le sud de la Somalie, se souvient leur commandant de l'époque, le général-major - désormais en retraite - Marc Jacqmin. Il était alors lieutenant-colonel et dirigeait le 1er bataillon parachutiste de Diest, qui formait le noyau de la participation belge à cette grande opération humanitaire comptant plus de 38.000 hommes. 

Une compagnie de ce bataillon avait débarqué à Kismayo le 20 décembre, à bord d'engins amphibies de l'US Navy pour y établir une tête de pont de l'opération "Restore Hope" aux côtés de troupes américaines. Le reste des troupes belges avait suivi le 21 puis le 24 décembre, avant l'arrivée du navire "Zinnia" de la Marine, puis d'un bâtiment transportant le charroi lourd, dont des blindés légers de type CVRT, en janvier 1993. 

"Je commandais alors un contingent de quelque 950 hommes", a raconté à l'agence BELGA le général Jacqmin, qui avait été promu colonel sur place, le 26 décembre 1992. 

Les Américains s'étaient toutefois rapidement retirés de Kismayo, laissant les Belges contrôler tant bien que mal cette ville d'importance stratégique, son port, et la basse vallée de la Juba disputés par les milices de "seigneurs de la guerre" - principalement le général Mohamed Said Hersi (dit "Morgan", le beau-frère de l'ancien président Siad Barré, renversé en 1991) et le colonel Ahmed Omar Jess. 

En mai 1993, l'opération était passée sous le commandement des Nations Unies, devenant l'ONUSOM (Opération des Nations Unies en Somalie), avec quelque 20.000 Casques bleus et huit mille civils munis d'un mandat "musclé". 

Les troupes américaines avaient pour leur part quitté la Somalie le 31 mars 1994, après la mort de 18 GI's le 3 octobre 1993 à Mogadiscio, lors d'une désastreuse tentative de capture d'un des principaux chefs de guerre, le général Mohamed Farah Aïdeed. Une désastreuse mission qui servira de fil narratif à Black Hawk Down (La Chute du Faucon Noir ), un film de Ridley Scott.
Les derniers Casques bleus de l'ONUSOM avaient plié bagage le 2 mars 1995 en plein désarroi, sans résoudre les causes profondes de la crise somalienne, où les combats entre factions rivales ont conduit à l'éclatement du pays en continuant à faire des morts malgré plusieurs conférences de paix. Vingt-et un ans après la chute de Siad Barré, la Somalie reste en effet sans autorité centrale, partagée en de multiples régions sous contrôle de chefs de clans locaux, malgré la mise en place d'un gouvernement national de transition (GNT) en août 2000. 

Les militaires belges avaient pour leur part cédé le relais à Kismayo à la mi-décembre 1993 à un contingent de Casques bleus indiens lourdement armés - notamment avec des chars d'assaut T-72 de conception soviétique. 

"Restore Hope" et l'ONUSOM se sont soldées par la mort de trente soldats américains, de 68 militaires d'autres nationalités (dont six Belges) et de 262 blessés parmi les Casques bleus. Les victimes somaliennes se sont chiffrées par milliers. 

L'armée belge, qui était à l'époque déjà présente en ex-Yougoslavie sous l'égide de l'ONU, avait enchaîné avec une mission au Rwanda, où dix Casques bleus avaient trouvé la mort à Kigali, le 7 avril 1994. 

Après le départ des troupes étrangères, la Somalie avait replongé dans le chaos. Elle n'en émerge que petit à petit avec la mise en place de nouvelles institutions encore fragiles - parlement, gouvernement et président - en septembre dernier, qui ont repoussé, avec l'aide de troupes africaines, les islamistes shebab de plusieurs régions qu'ils occupaient depuis des années. Les activités des pirates somaliens ont aussi reculé, grâce à la présence de plusieurs flottilles de navires de guerres occidentaux, mais aussi russes et asiatiques.


53rd anniversary of the Somali National Army (SNA)

12 April 2013 marked the 53rd anniversary of the Somali National Army (SNA) and was celebrated by a military parade at the newly refurbished Ministry of Defence in the Somali capital Mogadishu attended by Presdient Hassan Sheik Mohamud and commanders of the Somali military and the African Union Mission in Somalia (AMISOM). The country is rebuilding it's army, along with many state institutions and facilities after being racked by years of internal conflict and division and is enjoying it's longest period of relative peace since major operations by the SNA supported by forces of the African Union Mission in Somalia forced the Al-Qaeda-affiliated extremist group Al Shabaab out of the Somali capital in August 2011.












All Photos: AU-UN IST PHOTO / STUART PRICE.

Civil War in Somalia - An Act of Genocide


Somalie : la (re)découverte d’un conflit



Retour des islamistes shebab dans le sud du pays

dimanche 17 mars

Somalie: les rebelles islamistes reprennent une ville dans le Sud
Somalie: les rebelles islamistes reprennent une ville dans le sud
Belga

 

Les rebelles islamistes shebab, liés à Al-Qaïda, sont repassés à l'offensive en Somalie et ont repris dimanche matin une ville du sud du pays, a-t-on appris de sources concordantes.
Des combattants shebab lourdement armés ont pris sans combat la ville de Hudur, capitale de la province de Bakool, à environ 300 km au nord-ouest de Mogadiscio. Les islamistes ont fait leur entrée dans Hudur quelques heures à peine après le départ des troupes éthiopiennes qui occupaient la ville depuis fin 2011, a précisé un habitant. "Hudur est maintenant sous le contrôle des combattants shebab après le départ des soldats éthiopiens la nuit dernière", a expliqué cet habitant.
"La ville est maintenant fermement tenue par les moudjahidines", affirment les shebab dans un message sur leur compte Twitter, ajoutant que les "envahisseurs éthiopiens ont fui la ville". Le commandement militaire de l'armée somalienne à Baïdoa (à environ 100 km au sud de Hudur) a confirmé l'information, sans donner plus de détail.
La prise de Hudur, une capitale provinciale, est la première victoire d'envergure pour les shebab, qui ont essuyé revers sur revers ces derniers mois et n'ont cessé de céder du terrain face aux 17 000 hommes de la Force de l'Union africaine en Somalie (Amisom) et aux forces gouvernementales.On ignore encore si les forces éthiopiennes ont évacué la ville sous la pression des shebab.
Au sud de Hudur, Baïdoa est la principale base des forces éthiopiennes déployées en Somalie depuis fin 2011 où elles sont intervenues en soutien à une offensive militaire de l'armée kényane contre les shebab. Les soldats kényans ont depuis lors rejoint l'Amisom, tandis que l'armée éthiopienne reste sous commandement d'Addis Abeba.
 
Belga

27 February, 2013, the Somali National Army (SNA)

On 27 February, 2013, the Somali National Army (SNA) supported by forces of the African Union Mission in Somalia (AMISOM) advanced on and captured the strategic town of Buur-Hakba from the Al-Qaeda-affiliated extremist group Al Shabaab.
AU-UN IST PHOTO / STUART PRICE.

















Guerre civile en Somalie

01 janv. 1991

Les combats se poursuivent à Mogadiscio entre les forces gouvernementales et les rebelles du Congrès de la Somalie unifiée (USC ). Le président Syaad BARRE a abandonné son palais pour se réfugier dans un camp militaire proche de l'aéroport.



journaliste
Lapeyronie, Didier

Source : ina.fr

Les Russes libèrent des Italiens dans le Golfe d’Aden. Exercice…



Les équipes d’assaut russes débarquées d’un hélicoptère vont libérer le SanMarco (crédit : OTAN / Ocean Shield)

(BRUXELLES2) C’est un exercice anti-piraterie comme on les aime à l’OTAN, pour montrer que l’organisation n’a pas de frontières et peut englober au-delà de ses alliés traditionnels. Ainsi une équipe d’abordage italien du navire amiral de Ocean Shield, l’ITS SAN MARCO, se sont livré à un exercice comparé de leurs performances avec les forces d’assaut du SEVEROMORSK, mardi (26 février) dans le Golfe d’Aden.
 
Deux scènes
L’exercice s’est déroulé en deux actes. Premier temps, le SAN MARCO joue le rôle d’un navire détourné et l’équipe d’assaut du Severomorsk doit le libérer. Deuxième temps, les rôles sont inversés. Le Severomorsk joue le rôle d’un navire impliqué dans le trafic d’armes illégal (toute ressemblance avec une situation pouvant se jouer au large de la Syrie est bien sûr exclue. Et le SAN MARCO prenant le rôle du chasseur, à la recherche de preuves d’activités illégales, envoie une équipe d’arraisonnement pour inspecter le navire…
 
Un exercice planifié dans le cadre Otan Russie
Cet exercice n’est pas inopiné. Mais se place dans le contexte d’une coopération anti-piraterie agréé par le Conseil Russie-OTAN et qui a été planifié lors de deux réunions consécutives, en mer, des forces navales. « Un pas significatif dans l’interopérabilité OTAN-Russie dans les activités de contre-piraterie dans l’Océan indien » affirme-t-on à l’Alliance. « C’est une étape dans la coopération entre la Russie et l’OTAN. Et j’en sûr, ses effets ne seront pas limités aux activités anti-piraterie mais offriront des perspectives d’autres type d’engagement constructif dans le futur » a ainsi expliqué le Rear Admiral Antonio Natale à la fin de l’exercice.

Source : www.bruxelles2.eu
 

Somalia Famine Partly To Blame On War And Corruption: Analysts

Somalia Famine War Corruption
 
MOGADISHU, Somalia — Somali soldiers beat back desperate families with gun butts Thursday as they fought for food supplies in front of a weeping diplomat, a day after the U.N. declared parts of the country were suffering from the worst famine in a generation.
"I will knock on every door I can to help you," the African Union envoy to Somalia, Jerry Rawlings, told the gathered families in the capital of Mogadishu.
Somalia's 20-year-old civil war is partly to blame for turning the drought in the Horn of Africa into a famine. Analysts warned that aid agencies could be airlifting emergency supplies to the failed state 20 years from now unless the U.N.-backed government improves.
"Corruption is a major part of the problem in Somalia," said Rashid Abdi, a Somalia analyst at the International Crisis Group. "This drought did not come out of nowhere, but the (Somali) government did not do anything to prepare for it. Instead they spent all their time fighting each other."
The U.N. has appealed for $300 million to over the next two months and aid agencies warn it will take at least $1 billion to provide emergency food, medicine and shelter for 11 million people in East Africa until the end of the year. Pictures of skeletal children and grief-stricken mothers stare out from Western newspapers in mute appeal.
The suffering is real. The U.N. believes tens of thousands have already died in the inaccessible interior, held by al-Qaida linked Islamist rebels who denied many aid agencies access for two years. The thorny scrub around the overflowing refugee camps in Kenya is littered with tiny corpses abandoned by mothers to weak to even dig their children a grave.
But Somalis will continue to suffer unless the international backers who support the Somali government also demand that it does a better job, said Abdirazak Fartaag, who headed the government's finance management unit until he fled the country after writing a report detailing tens of millions of dollars in missing donations from Arab nations.
"The Somalis are very grateful for what the international community is doing for them, but they need to be a bit more forceful in holding our politicians to account," Fartaag said.
Currently, the government only holds half of the capital with the help of 9,000 African Union peacekeepers. The salaries of 10,000 Somali soldiers are paid by the U.S. and Italy, and the police are paid by the European Union.
The rest of south-central Somalia is held by insurgents who kidnap children to use as child soldiers and carry out stonings and amputations. Last year, the group claimed responsibility for their first international terror attack, killing 76 people in Uganda.
Abdi said some Somali politicians continued to be corrupt because they gambled that the international community would not withdraw its support and allow the Islamists to take over the whole of southern Somalia.
"They know they're the only game in town," he said.
There may be some small signs of progress. This week, Somali President Sheik Sharif Sheik Ahmed announced a new cabinet – the third in less than a year – and said his government had deposited $500,000 for drought relief in a public account that any donations can be sent to. Some displaced families in the capital said the government had distributed bananas and dried food.
But Fartaag said tens of millions of dollars more that could be used to help starving Somalis was missing. The port in the capital declared revenues just over $13 million last year, said port director Sayyed Ali Maalin Abdulle. Berbera port in the northern breakaway republic of Somaliland makes at least $30 million a year and is about a quarter of the size.
The E.U.'s humanitarian aid chief said Thursday that the famine offers a fresh chance to push for peace if local and international leaders step up.
"Perhaps we should see this crisis as an opportunity for more attention to be brought back to Somalia," Kristalina Georgieva told The Associated Press, noting that the worst drought in the region for 60 years had hit Somalia hardest because the government and infrastructure there are weakest.
"It might be that the incredible tragedy in Somalia ... is an opportunity for a renewed effort, and it has to be from the international community and the Somali people themselves and their leadership," she said.
In the meantime, Somali refugees continue to flood across the border into neighboring Ethiopia and Kenya, where Prime Minister Raila Odinga said his government is concerned about the security threat caused by the influx and he urged aid groups to set up feeding camps in areas of Somalia not controlled by the militant group al-Shabab.
"It is possible to set up food camps there and tents so that they can live there," Odinga said. "Once (refugees) come to Kenya they don't want to go back. They say it is better to die in Kenya than in Somalia."
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Houreld reported from Nairobi, Kenya. Associated Press reporters Tom Odula in Nairobi and Frank Jordans in Geneva contributed to this report.
 

 

A Casualty Of The Somali Civil War

This entry was posted on April 13, 2010, in Favorites, Somalia, Travel and tagged , , . Bookmark the permalink. Leave a comment
While driving through Somalia, we came across this battered tank – a casualty of the Somali civil war:
Bombed out tank in Somalia
I was surprised to see that it still had its number plate:
Plate for a bombed out tank in Somalia
The armed guard we hired, Mahamed Ali, poses next to the bombed-out tank for me:
Our guard posing next to the wreck of a somali tank
This crude graveyard was just behind the tank which led me to wonder if it contained the remains of the tank crew and some of those accompanying it… Or perhaps it was the other way around and contains the remains of those that were fighting against the tank occupants?
Graveyard next to bombed out Somali tank

http://thevelvetrocket.com/2010/04/13/a-casualty-of-the-somali-civil-war/